L’alphabet N’ko, une Ă©criture ancienne intĂ©ressante mais d’usage pratique assez limitĂ©
CrĂ©Ă© en 1949 par le GuinĂ©en Souleymane KantĂ© en CĂ´te d’Ivoire, l’alphabet N’ko est nĂ© de la rĂ©action Ă l’insulte d’un journaliste libanais, qui, dans un commentaire, avait comparĂ© les Africains aux oiseaux, du fait qu’ils n’avaient aucune Ă©criture connue. KantĂ© Ă©tait nĂ©gociant de noix de cola dont le père Ă©tait un Ă©rudit du C oran et qui parlait couramment l’arabe et le français. Ses recherches mènent Ă la dĂ©couverte de l’alphabet ancien N’ko. Il dĂ©cide alors de faire revivre, normaliser et perfectionner l’alphabet N’ko. Prolifique Ă©crivain, il rĂ©digea plusieurs ouvrages en N’ko. Son travail a inspirĂ© des mouvements ethnoculturels de promotion du N’ko, ainsi que l’intĂ©rĂŞt sciatique et linguistique sur cette ancienne Ă©criture. Le promoteur principal du N’ko en AmĂ©rique du Nord est Boubacar DiakitĂ©, qui enseigne dans le programme de langues africaines du dĂ©partement des Ă©tudes africaines et afro-amĂ©ricaines de l’ u niversitĂ© Harvard, comme ...
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Mohamed Lamine KABA Sociologue de formation spécialisé en organisations.
Etudiant-Chercheur Associé. Leader, dynamique et activiste.
Coordinateur National de Youth Action Hub Guinea.
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